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      Ubuntu

      Comment installer Java avec `apt` sur Ubuntu 18.04


      [*]

      L’auteur a choisi le Open Internet/Free Speech Fund pour recevoir un don de 100 $ dans le cadre du programme Write for DOnations.

      Introduction

      Java et la machine virtuelle Java (JVM) sont nécessaires pour de nombreux types de logiciels, dont Tomcat, Jetty, Glassfish, Cassandra et Jenkins.

      Dans ce guide, vous installerez différentes versions de l’environnement d’exécution Java (JRE) et du kit de développement Java (JDK) en utilisant apt. Vous installerez OpenJDK ainsi que les packages officiels d’Oracle. Vous sélectionnerez ensuite la version que vous souhaitez utiliser pour vos projets. Une fois terminé, vous pourrez utiliser le JDK pour développer des logiciels ou utiliser le JRE pour exécuter des logiciels.

      Conditions préalables

      Pour suivre ce tutoriel, vous aurez besoin de :

      Installation du JRE et du JDK par défaut

      L’option la plus simple pour installer Java est d’utiliser la version fournie avec Ubuntu. Par défaut, Ubuntu 18.04 inclut OpenJDK, une variante open source du JRE et du JDK.

      Ce package installera OpenJDK 10 ou 11.

      • Avant septembre 2018, il installe OpenJDK 10.
      • Après septembre 2018, il installe OpenJDK 11.

      Pour installer cette version, mettez d’abord à jour l’index des packages :

      Ensuite, vérifiez si Java est déjà installé :

      Si Java n'est actuellement pas installé, vous verrez la sortie suivante :

      Output

      Command 'java' not found, but can be installed with: apt install default-jre apt install openjdk-11-jre-headless apt install openjdk-8-jre-headless apt install openjdk-9-jre-headless

      Exécutez la commande suivante pour installer OpenJDK :

      • sudo apt install default-jre

      Cette commande permet d'installer l'environnement d'exécution Java (JRE). Cela vous permettra d'exécuter presque tous les logiciels Java.

      Vérifiez l'installation avec :

      Vous verrez la sortie suivante :

      Output

      openjdk version "10.0.1" 2018-04-17 OpenJDK Runtime Environment (build 10.0.1+10-Ubuntu-3ubuntu1) OpenJDK 64-Bit Server VM (build 10.0.1+10-Ubuntu-3ubuntu1, mixed mode)

      Vous aurez peut-être besoin du kit de développement Java (JDK) en plus du JRE afin de compiler et d'exécuter certains logiciels spécifiques basés sur Java. Pour installer le JDK, exécutez la commande suivante, qui installera également le JRE :

      • sudo apt install default-jdk

      Vérifiez que le JDK est installé en vérifiant la version de javac, le compilateur Java :

      Vous verrez la sortie suivante :

      Output

      javac 10.0.1

      Voyons maintenant comment spécifier la version d'OpenJDK que nous voulons installer.

      Installation de versions spécifiques d'OpenJDK

      Bien que vous puissiez installer le package OpenJDK par défaut, vous pouvez également installer différentes versions d'OpenJDK.

      OpenJDK 8

      Java 8 est l'actuelle version LTS (support à long terme) et est toujours largement supportée, bien que la maintenance publique prenne fin en janvier 2019. Pour installer OpenJDK 8, exécutez la commande suivante :

      • sudo apt install openjdk-8-jdk

      Vérifiez que celui-ci est installé avec :

      Vous verrez une sortie de ce type :

      Output

      openjdk version "1.8.0_162" OpenJDK Runtime Environment (build 1.8.0_162-8u162-b12-1-b12) OpenJDK 64-Bit Server VM (build 25.162-b12, mixed mode)

      Il est également possible d'installer uniquement le JRE, ce que vous pouvez faire en exécutant sudo apt install openjdk-8-jre.

      OpenJDK 10/11

      Les référentiels d'Ubuntu contiennent un package qui permet d'installer Java 10 ou 11. Avant septembre 2018, ce package installe OpenJDK 10. Une fois Java 11 publié, ce package installe Java 11.

      Pour installer OpenJDK 10/11, exécutez la commande suivante :

      • sudo apt install openjdk-11-jdk

      Pour uniquement installer le JRE, utilisez la commande suivante :

      • sudo apt install openjdk-11-jre

      Ensuite, voyons comment installer les JDK et JRE officiels d'Oracle.

      Installation de Oracle JDK

      Si vous souhaitez installer Oracle JDK, la version officielle distribuée par Oracle, vous devrez ajouter un nouveau référentiel de packages pour la version que vous souhaitez utiliser.

      Pour installer Java 8, la dernière version LTS, il faut d'abord ajouter son référentiel de packages :

      • sudo add-apt-repository ppa:webupd8team/java

      Lorsque vous ajoutez le référentiel, vous verrez un message comme celui-ci :

      output

      Oracle Java (JDK) Installer (automatically downloads and installs Oracle JDK8). There are no actual Jav a files in this PPA. Important -> Why Oracle Java 7 And 6 Installers No Longer Work: http://www.webupd8.org/2017/06/why-oracl e-java-7-and-6-installers-no.html Update: Oracle Java 9 has reached end of life: http://www.oracle.com/technetwork/java/javase/downloads/j dk9-downloads-3848520.html The PPA supports Ubuntu 18.04, 17.10, 16.04, 14.04 and 12.04. More info (and Ubuntu installation instructions): - for Oracle Java 8: http://www.webupd8.org/2012/09/install-oracle-java-8-in-ubuntu-via-ppa.html Debian installation instructions: - Oracle Java 8: http://www.webupd8.org/2014/03/how-to-install-oracle-java-8-in-debian.html For Oracle Java 10, see a different PPA: https://www.linuxuprising.com/2018/04/install-oracle-java-10-in-ubuntu-or.html More info: https://launchpad.net/~webupd8team/+archive/ubuntu/java Press [ENTER] to continue or Ctrl-c to cancel adding it.

      Appuyez sur ENTER (ENTRÉE) pour continuer. Mettez ensuite à jour votre liste de packages :

      Une fois la liste des packages mise à jour, installez Java 8 :

      • sudo apt install oracle-java8-installer

      Votre système téléchargera le JDK depuis Oracle et vous demandera d'accepter le contrat de licence. Acceptez le contrat et le JDK s'installera.

      Voyons maintenant comment sélectionner la version de Java que vous souhaitez utiliser.

      Gestion de Java

      Vous pouvez avoir plusieurs installations Java sur un même serveur. Vous pouvez configurer la version utilisée par défaut sur la ligne de commande en utilisant la commande update-alternatives.

      • sudo update-alternatives --config java

      Voici à quoi ressemblerait la sortie si vous aviez installé toutes les versions de Java de ce tutoriel :

      Output

      There are 3 choices for the alternative java (providing /usr/bin/java). Selection Path Priority Status ------------------------------------------------------------ * 0 /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/java 1101 auto mode 1 /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/java 1101 manual mode 2 /usr/lib/jvm/java-8-openjdk-amd64/jre/bin/java 1081 manual mode 3 /usr/lib/jvm/java-8-oracle/jre/bin/java 1081 manual mode

      Choisissez le numéro associé à la version Java afin de l'utiliser par défaut ou appuyez sur ENTER pour conserver les paramètres actuels.

      Vous pouvez faire cela pour d'autres commandes Java, telles que le compilateur (javac) :

      • sudo update-alternatives --config javac

      Les autres commandes pour lesquelles cette commande peut être exécutée comprennent, sans s'y limiter : keytool, javadoc et jarsigner.

      Définition de la variable d'environnement JAVA_HOME

      De nombreux programmes écrits en Java utilisent la variable d'environnement JAVA_HOME pour déterminer l'emplacement d'installation de Java.

      Pour définir cette variable d'environnement, il faut d'abord déterminer où Java est installé. Utilisez la commande update-alternatives :

      • sudo update-alternatives --config java

      Cette commande montre chaque installation de Java ainsi que son chemin d'installation :

      Output

      There are 3 choices for the alternative java (providing /usr/bin/java). Selection Path Priority Status ------------------------------------------------------------ * 0 /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/java 1101 auto mode 1 /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/java 1101 manual mode 2 /usr/lib/jvm/java-8-openjdk-amd64/jre/bin/java 1081 manual mode 3 /usr/lib/jvm/java-8-oracle/jre/bin/java 1081 manual mode Press <enter> to keep the current choice[*], or type selection number:

      Dans ce cas, les chemins d'installation sont les suivants :

      1. OpenJDK 11 se trouve dans /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/java.
      2. OpenJDK 8 se trouve dans /usr/lib/jvm/java-8-openjdk-amd64/jre/bin/java.
      3. Oracle Java 8 se trouve dans /usr/lib/jvm/java-8-oracle/jre/bin/java.

      Copiez le chemin de votre installation souhaitée. Puis, ouvrez /etc/environment en utilisant nano ou votre éditeur de texte préféré :

      • sudo nano /etc/environment

      À la fin de ce fichier, ajoutez la ligne suivante, en veillant à remplacer le chemin surligné par votre propre chemin copié :

      /etc/environment

      JAVA_HOME="/usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/"
      

      La modification de ce fichier définira le chemin JAVA_HOME pour tous les utilisateurs de votre système.

      Enregistrez le fichier et quittez l'éditeur.

      Rechargez maintenant ce fichier pour appliquer les changements à votre session actuelle :

      Vérifiez que la variable d'environnement est définie :

      Vous verrez le chemin que vous venez de définir :

      Output

      /usr/lib/jvm/java-11-openjdk-amd64/bin/

      Les autres utilisateurs devront exécuter la commande source /etc/environment, ou se déconnecter et se reconnecter pour appliquer ce paramètre.

      Conclusion

      Dans ce tutoriel, vous avez installé plusieurs versions de Java et appris à les gérer. Vous pouvez désormais installer des logiciels fonctionnant grâce à Java, tels que Tomcat, Jetty, Glassfish, Cassandra ou Jenkins.

      [*]
      [*]Source link

      Comment installer Node.js sur Ubuntu 18.04


      Introduction

      Node.js est une plateforme JavaScript de programmation à usage général qui permet aux utilisateurs de créer rapidement des applications réseau. En utilisant JavaScript aussi bien en front-end qu’en back-end, Node.js rend le développement plus cohérent et intégré.

      Dans ce guide, nous vous montrerons comment démarrer avec Node.js sur un serveur Ubuntu 18.04.

      Conditions préalables

      Ce guide suppose que vous utilisez Ubuntu 18.04. Avant de commencer, vous devez avoir un compte utilisateur non root avec privilèges sudo sur votre système. Vous pouvez apprendre à créer et configurer ce type de compte en suivant le tutoriel sur la configuration initiale de serveur pour Ubuntu 18.04.

      Installation de la version stable pour Ubuntu

      Ubuntu 18.04 contient une version de Node.js dans ses référentiels par défaut qui peut être utilisée pour assurer une expérience cohérente sur plusieurs systèmes. Au moment de la rédaction de cet article, la version dans les référentiels est la 8.10.0. Il ne s’agit pas de la dernière version, mais elle devrait être stable et capable de permettre une expérience rapide du langage.

      Pour obtenir cette version, vous pouvez utiliser le gestionnaire de package apt. Actualisez votre index de package local en tapant :

      Installez Node.js à partir des référentiels :

      Si le package dans les référentiels répond à vos besoins, c'est tout ce que vous devez faire pour installer Node.js. Dans la plupart des cas, vous voudrez également installer npm, le gestionnaire de package Node.js. Vous pouvez le faire en tapant :

      Cela vous permettra d'installer des modules et des packages à utiliser avec Node.js.

      En raison d'un conflit avec un autre package, l'exécutable des référentiels Ubuntu est appelé nodejs au lieu de node. Gardez cela à l'esprit lorsque vous utilisez un logiciel.

      Pour vérifier quelle version de Node.js vous avez installée après ces premières étapes, tapez :

      Une fois que vous avez établi quelle version de Node.js vous avez installée depuis les référentiels Ubuntu, vous pouvez décider si vous souhaitez ou non travailler avec d'autres versions, archives de packages ou gestionnaires de versions. Nous allons ensuite discuter de ces éléments, ainsi que de méthodes d'installation plus souples et plus robustes.

      Installation à l'aide d'un PPA

      Pour obtenir une version plus récente de Node.js, vous pouvez ajouter le PPA (personal package archive) maintenu par NodeSource. Celui-ci vous permettra de trouver des versions plus récentes de Node.js que les référentiels officiels Ubuntu et de choisir entre Node.js v6.x (supporté jusqu'en avril 2019), Node.js v8.x (la version LTS actuelle, supportée jusqu'en décembre 2019), Node.js v10.x (la deuxième version LTS actuelle, supportée jusqu'en avril 2021) et Node.js v11.x (la version actuelle, supportée jusqu'en juin 2019).

      Tout d'abord, installez le PPA afin d'avoir accès à son contenu. Dans votre répertoire de base, utilisez curl pour récupérer le script d'installation de votre version souhaitée, en veillant à remplacer 10.x par la chaîne de votre version souhaitée (si différente) :

      • cd ~
      • curl -sL https://deb.nodesource.com/setup_10.x -o nodesource_setup.sh

      Vous pouvez inspecter le contenu de ce script avec nano (ou votre éditeur de texte préféré) :

      Exécutez le script sous sudo :

      • sudo bash nodesource_setup.sh

      Le PPA sera ajouté à votre configuration et le cache local de votre package sera automatiquement mis à jour. Après avoir exécuté le script d'installation de Nodesource, vous pouvez installer le package Node.js de la même manière que vous l'avez fait ci-dessus :

      Pour vérifier quelle version de Node.js vous avez installée après ces premières étapes, tapez :

      Output

      v10.14.0

      Le package nodejs contient le binaire nodejs ainsi que npm, vous n'avez donc pas besoin d'installer npm séparément.

      npm utilise un fichier de configuration dans votre répertoire de base pour suivre les mises à jour. Il sera créé la première fois que vous utiliserez npm. Exécutez cette commande pour vérifier que npm est installé et pour créer le fichier de configuration :

      Output

      6.4.1

      Pour que certains packages npm fonctionnent (par exemple, ceux qui nécessitent la compilation du code source), vous devrez installer le package build-essential :

      • sudo apt install build-essential

      Vous disposez maintenant des outils nécessaires pour travailler avec les packages npm qui nécessitent de compiler du code source.

      Installation à l'aide de NVM

      Une alternative à l'installation de Node.js avec apt est d'utiliser le gestionnaire de version Node.js appelé nvm. Au lieu de travailler au niveau du système d'exploitation, nvm travaille au niveau d'un répertoire indépendant au sein de votre répertoire de base. Cela signifie que vous pouvez installer plusieurs versions autonomes de Node.js sans affecter l'ensemble du système.

      Le contrôle de votre environnement avec nvm vous permet d'accéder aux versions les plus récentes de Node.js, et de conserver et gérer les versions précédentes. Il s'agit toutefois d'un utilitaire différent de apt et les versions de Node.js que vous gérez avec lui sont distinctes des versions que vous gérez avec apt.

      Pour télécharger le script d'installation de nvm à partir de la page GitHub du projet, vous pouvez utiliser curl. Veuillez noter que le numéro de version peut différer de celui qui est mis en évidence ici :

      • curl -sL https://raw.githubusercontent.com/creationix/nvm/v0.33.11/install.sh -o install_nvm.sh

      Inspectez le script d'installation avec nano :

      Exécutez le script avec bash :

      Cela installera le logiciel dans un sous-répertoire de votre répertoire de base dans ~/.nvm. Cela ajoutera également les lignes nécessaires à votre fichier ~/.profile pour utiliser le fichier.

      Pour accéder à la fonctionnalité nvm, vous devez soit vous déconnecter et vous reconnecter, soit charger le fichier ~/.profile afin que votre session actuelle soit informée des modifications :

      Avec nvm installé, vous pouvez installer des versions isolées de Node.js. Pour obtenir des informations sur les versions de Node.js disponibles, tapez :

      Output

      ... v8.11.1 (Latest LTS: Carbon) v9.0.0 v9.1.0 v9.2.0 v9.2.1 v9.3.0 v9.4.0 v9.5.0 v9.6.0 v9.6.1 v9.7.0 v9.7.1 v9.8.0 v9.9.0 v9.10.0 v9.10.1 v9.11.0 v9.11.1 v10.0.0

      Comme vous pouvez le voir, la version LTS actuelle au moment de la rédaction de cet article est la v8.11.1. Vous pouvez l'installer en tapant :

      En général, nvm utilise la dernière version installée. Vous pouvez indiquer à nvm d'utiliser la version que vous venez de télécharger en tapant :

      Lorsque vous installez Node.js en utilisant nvm, l'exécutable est appelé node. Vous pouvez voir la version actuellement utilisée par le shell en tapant :

      Output

      v8.11.1

      Si vous avez plusieurs versions de Node.js, vous pouvez voir celles qui sont installées en tapant :

      Si vous souhaitez utiliser par défaut l'une des versions, tapez :

      Cette version sera automatiquement sélectionnée lors de l'ouverture d'une nouvelle session. Vous pouvez également y faire référence par l'alias comme ceci :

      Chaque version de Node.js assure le suivi de ses propres packages et dispose de npm pour les gérer.

      Vous pouvez également demander à npm d'installer des packages dans le répertoire ./node_modules du projet Node.js. Utilisez la syntaxe suivante pour installer le module express :

      Si vous souhaitez installer le module de manière globale, le rendant ainsi disponible aux autres projets utilisant la même version de Node.js, vous pouvez ajouter l'indicateur -g :

      Cela installera le package dans :

      ~/.nvm/versions/node/node_version/lib/node_modules/express
      

      L'installation globale du module vous permettra d'exécuter des commandes depuis la ligne de commande, mais vous devrez relier le package à votre sphère locale pour le solliciter à partir d'un programme :

      Vous pouvez en savoir plus sur les options disponibles avec nvm en tapant :

      Suppression de Node.js

      Vous pouvez désinstaller Node.js en utilisant apt ou nvm, selon la version que vous souhaitez cibler. Pour supprimer la version stable, vous devez utiliser l'utilitaire apt au niveau du système.

      Pour supprimer la version stable, tapez ce qui suit :

      Cette commande supprimera le package et conservera les fichiers de configuration. Ils peuvent vous être utiles si vous avez l'intention de réinstaller le package ultérieurement. Si vous ne voulez pas conserver les fichiers de configuration pour un usage ultérieur, exécutez ce qui suit :

      Cela désinstallera le package et supprimera les fichiers de configuration qui lui sont associés.

      Enfin, vous pouvez supprimer tous les packages inutilisés qui ont été installés automatiquement avec le package supprimé :

      Pour désinstaller une version de Node.js que vous avez activée à l'aide de nvm, déterminez d'abord si la version que vous souhaitez supprimer est la version active actuelle :

      Si la version que vous ciblez n'est pas la version active actuelle, vous pouvez exécuter :

      • nvm uninstall node_version

      Cette commande désinstallera la version sélectionnée de Node.js.

      Si la version que vous souhaitez supprimer est la version active actuelle, vous devez d'abord désactiver nvm pour permettre les modifications :

      Vous pouvez maintenant désinstaller la version actuelle en utilisant la commande uninstall ci-dessus, qui supprimera tous les fichiers associés à la version ciblée de Node.js, à l'exception des fichiers mis en cache qui peuvent être utilisés pour la réinstallation.

      Conclusion

      Il existe plusieurs façons de faire fonctionner Node.js sur votre serveur Ubuntu 18.04. Votre situation déterminera laquelle des méthodes ci-dessus est la mieux adaptée à vos besoins. L'utilisation de la version packagée dans le référentiel d'Ubuntu est la méthode la plus simple, mais l'utilisation de nvm offre une plus grande flexibilité.



      Source link

      Comment installer WordPress avec LAMP sur Ubuntu 18.04


      Une version précédente de ce tutoriel a été rédigée par Justin Ellingwood

      Introduction

      WordPress est le CMS (système de gestion de contenu) le plus populaire sur Internet. Il vous permet de facilement créer des blogs et des sites Web flexibles en s’appuyant sur un back-end MySQL avec traitement PHP. WordPress a rencontré un succès incroyable, et c’est un excellent choix pour créer rapidement un site Web. Une fois WordPress configuré, presque toute l’administration peut se faire via l’interface Web.

      Dans ce guide, nous allons nous concentrer sur la mise en place d’une instance WordPress sur une pile LAMP (Linux, Apache, MySQL et PHP) sur un serveur Ubuntu 18.04.

      Conditions préalables

      Afin de suivre ce tutoriel, vous devez avoir accès à un serveur Ubuntu 18.04.

      Vous devrez effectuer les tâches suivantes avant de pouvoir commencer ce guide :

      • Créer un utilisateur sudo sur votre serveur : nous suivrons les étapes de ce guide en utilisant un utilisateur non root avec privilèges sudo. Vous pouvez créer un utilisateur avec privilèges sudo en suivant notre guide de configuration initiale de serveur Ubuntu 18.04.
      • Installer une pile LAMP : WordPress aura besoin d’un serveur Web, d’une base de données et de PHP pour fonctionner correctement. La mise en place d’une pile LAMP (Linux, Apache, MySQL et PHP) répond à tous ces besoins. Suivez ce guide pour installer et configurer cette pile de logiciels.
      • Sécuriser votre site avec SSL : WordPress sert du contenu dynamique et gère l’authentification et l’autorisation des utilisateurs. La technologie TLS/SSL vous permet de chiffrer le trafic de votre site afin que votre connexion soit sécurisée. La façon dont vous configurez SSL varie selon que vous avez ou non un nom de domaine pour votre site.
        • Si vous avez un nom de domaine… le moyen le plus simple de sécuriser votre site est d’utiliser Let’s Encrypt, qui fournit des certificats gratuits et fiables. Suivez notre guide Let’s Encrypt pour Apache afin de configurer cela.
        • Si vous n’avez pas de domaine… et que vous utilisez cette configuration à des fins de test ou pour un usage personnel, vous pouvez à la place utiliser un certificat auto-signé. Cela permet d’obtenir le même type de chiffrement, mais sans la validation du domaine. Suivez notre guide SSL auto-signé pour Apache afin de le mettre en place.

      Une fois les étapes de préparation terminées, connectez-vous à votre serveur en tant qu’utilisateur sudo et continuez ci-dessous.

      Étape 1 – Création d’une base de données MySQL et d’un utilisateur pour WordPress

      La première étape que nous allons suivre est une étape préparatoire. WordPress utilise MySQL pour gérer et stocker les informations du site et des utilisateurs. Nous avons déjà installé MySQL, mais nous devons créer une base de données et un utilisateur pour WordPress.

      Pour commencer, connectez-vous au compte root (administratif) de MySQL en exécutant cette commande :

      Le mot de passe que vous avez défini pour le compte root MySQL lors de son installation vous sera demandé.

      Pour commencer, nous pouvons créer une base de données séparée que WordPress contrôlera. Vous pouvez l'appeler comme vous le souhaitez, mais nous la nommerons** wordpress** dans ce guide par souci de simplicité. Créez la base de données pour WordPress en tapant :

      • CREATE DATABASE wordpress DEFAULT CHARACTER SET utf8 COLLATE utf8_unicode_ci;

      Remarque : chaque instruction MySQL doit se terminer par un point-virgule (;). Vérifiez qu'il est bien présent si vous rencontrez des problèmes.

      Ensuite, nous allons créer un compte utilisateur MySQL distinct que nous utiliserons exclusivement pour exploiter notre nouvelle base de données. La création de bases de données et de comptes n'ayant qu'une seule fonction est une bonne idée du point de vue de la gestion et de la sécurité. Nous utiliserons le nom wordpressuser dans ce guide. N'hésitez pas à le modifier si vous le souhaitez.

      Nous allons créer ce compte, définir un mot de passe et lui donner accès à la base de données que nous avons créée. Nous pouvons le faire en tapant la commande ci-dessous. N'oubliez pas ici de choisir un mot de passe fort pour votre utilisateur de base de données :

      • GRANT ALL ON wordpress.* TO 'wordpressuser'@'localhost' IDENTIFIED BY 'password';

      Vous disposez désormais d'une base de données et d'un compte d'utilisateur, chacun spécialement conçu pour WordPress. Nous devons purger les privilèges afin que l'instance actuelle de MySQL soit au courant des récents changements que nous avons apportés :

      Sortez de MySQL en tapant :

      Étape 2 - Installation d'extensions PHP supplémentaires

      Lors de la mise en place de notre pile LAMP, nous n'avons eu besoin que d'un ensemble très limité d'extensions pour que PHP puisse communiquer avec MySQL. WordPress et beaucoup de ses plugins utilisent des extensions PHP supplémentaires.

      Nous pouvons télécharger et installer certaines des extensions PHP les plus populaires pour WordPress en tapant :

      • sudo apt update
      • sudo apt install php-curl php-gd php-mbstring php-xml php-xmlrpc php-soap php-intl php-zip

      Remarque : chaque plugin WordPress a ses propres exigences. Certains peuvent nécessiter l'installation de packages PHP supplémentaires. Consultez la documentation de votre plugin pour connaître ses besoins en matière de PHP. S'ils sont disponibles, ils peuvent être installés avec apt comme illustré ci-dessus.

      Nous allons redémarrer Apache pour charger ces nouvelles extensions dans la prochaine section. Si vous revenez ici pour installer des plugins supplémentaires, vous pouvez redémarrer Apache maintenant en tapant :

      • sudo systemctl restart apache2

      Étape 3 - Ajustement de la configuration d'Apache pour autoriser .htaccess à remplacer et réécrire

      Nous allons maintenant procéder à quelques ajustements mineurs de notre configuration Apache. Après avoir suivi les tutoriaux préalables, vous devez disposer d'un fichier de configuration pour votre site dans le répertoire /etc/apache2/sites-available/. Nous utiliserons ici /etc/apache2/sites-available/wordpress.conf comme exemple, mais vous devez le remplacer par le chemin d'accès à votre fichier de configuration s'il est différent.

      De plus, nous utiliserons /var/www/wordpress comme répertoire racine de notre installation WordPress. Vous devez utiliser la racine Web spécifiée dans votre propre configuration.

      Remarque : il est possible que vous utilisiez la configuration par défaut 000-default.conf (avec /var/www/html comme racine Web). Cette configuration fonctionnera si vous ne souhaitez héberger qu'un seul site Web sur ce serveur. Sinon, il est préférable de diviser la configuration nécessaire en blocs logiques, un fichier par site.

      Autoriser les remplacements .htaccess

      Actuellement, l'utilisation des fichiers .htaccess est désactivée. WordPress et beaucoup de ses plugins utilisent ces fichiers de manière intensive pour ajuster dans le répertoire le comportement du serveur Web.

      Ouvrez le fichier de configuration Apache pour votre site Web :

      • sudo nano /etc/apache2/sites-available/wordpress.conf

      Pour autoriser les fichiers .htaccess, nous devons paramétrer la directive AllowOverride dans un bloc Directory pointant vers la racine de notre document. Ajoutez le bloc de texte suivant dans le bloc VirtualHost de votre fichier de configuration, en veillant à utiliser le bon répertoire racine Web :

      /etc/apache2/sites-available/wordpress.conf

      <Directory /var/www/wordpress/>
          AllowOverride All
      </Directory>
      

      Lorsque vous avez terminé, enregistrez et fermez le fichier.

      Activer le module de réécriture

      Ensuite, nous pouvons activer mod_rewrite afin de pouvoir utiliser la fonction de permalien de WordPress :

      Activer les modifications

      Avant d'implémenter les modifications que nous avons apportées, vérifions que nous n'avons pas fait d'erreurs de syntaxe :

      • sudo apache2ctl configtest

      La sortie pourrait avoir un message qui ressemble à ceci :

      Output

      AH00558: apache2: Could not reliably determine the server's fully qualified domain name, using 127.0.1.1. Set the 'ServerName' directive globally to suppress this message Syntax OK

      Si vous souhaitez supprimer la première ligne, ajoutez simplement une directive ServerName à votre fichier de configuration principal (global) d'Apache à l'emplacement /etc/apache2/apache2.conf. Le ServerName peut être le domaine ou l'adresse IP de votre serveur. Ce n'est toutefois qu'un simple message qui n'affecte pas la fonctionnalité de notre site. Tant que la sortie contient Syntax OK, vous êtes prêt à continuer.

      Redémarrez Apache pour implémenter les modifications :

      • sudo systemctl restart apache2

      Nous allons ensuite télécharger et mettre en place WordPress lui-même.

      Étape 4 - Téléchargement de WordPress

      Maintenant que le logiciel de notre serveur est configuré, nous pouvons télécharger et installer WordPress. Pour des raisons de sécurité notamment, il est toujours recommandé de se procurer la dernière version de WordPress sur leur site.

      Passez dans un répertoire accessible en écriture, puis téléchargez la version compressée en tapant :

      • cd /tmp
      • curl -O https://wordpress.org/latest.tar.gz

      Extrayez le fichier compressé pour créer la structure de répertoire de WordPress :

      Nous allons déplacer ces fichiers à la racine de notre document dans un instant. Avant cela, nous pouvons ajouter un fichier .htaccess factice afin qu'il soit disponible pour une utilisation ultérieure par WordPress.

      Créez le fichier en tapant :

      • touch /tmp/wordpress/.htaccess

      Nous allons également copier le fichier de configuration type au nom de fichier que WordPress lit réellement :

      • cp /tmp/wordpress/wp-config-sample.php /tmp/wordpress/wp-config.php

      Nous pouvons également créer le répertoire upgrade afin que WordPress ne rencontre pas de problèmes d'autorisations lorsqu'il essaie de le faire seul suite à une mise à jour logicielle :

      • mkdir /tmp/wordpress/wp-content/upgrade

      Nous pouvons maintenant copier l'intégralité du contenu du répertoire à la racine de notre document. Nous ajoutons un point à la fin de notre répertoire source pour indiquer que tout ce qui se trouve dans le répertoire doit être copié, y compris les fichiers cachés (tels que le fichier .htaccess que nous avons créé) :

      • sudo cp -a /tmp/wordpress/. /var/www/wordpress

      Étape 5 - Configuration du répertoire WordPress

      Avant de procéder à la configuration Web de WordPress, nous devons ajuster certains éléments de notre répertoire WordPress.

      Ajuster la propriété et les autorisations

      L'une des choses les plus importantes que nous devons faire est de mettre en place des autorisations de fichiers raisonnables et d'en définir la propriété.

      Nous allons commencer par donner la propriété de tous les fichiers à l'utilisateur et au groupe www-data. Il s'agit de l'utilisateur sous lequel le serveur Web Apache fonctionne, et Apache devra pouvoir lire et écrire des fichiers WordPress afin de servir le site Web et d'effectuer des mises à jour automatiques.

      Mettez à jour la propriété avec chown :

      • sudo chown -R www-data:www-data /var/www/wordpress

      Nous allons ensuite lancer deux commandes find pour définir les autorisations correctes sur les répertoires et les fichiers WordPress :

      • sudo find /var/www/wordpress/ -type d -exec chmod 750 {} ;
      • sudo find /var/www/wordpress/ -type f -exec chmod 640 {} ;

      Cet ensemble d'autorisations devrait être raisonnable pour commencer. Certains plugins et certaines procédures peuvent nécessiter des ajustements supplémentaires.

      Modifier le fichier de configuration WordPress

      Maintenant, nous devons apporter quelques modifications au fichier de configuration principal de WordPress.

      À l'ouverture du fichier, notre première tâche consistera à ajuster certaines clés secrètes pour assurer un minimum de sécurité à notre installation. WordPress fournit un générateur sécurisé pour ces valeurs, afin que vous n'ayez pas à essayer de trouver de bonnes valeurs par vous-même. Elles ne sont utilisées qu'en interne, si bien qu'il n'est pas gênant d'avoir des valeurs complexes et sûres ici.

      Pour récupérer des valeurs sécurisées du générateur de clés secrètes de WordPress, tapez :

      • curl -s https://api.wordpress.org/secret-key/1.1/salt/

      Vous récupérerez des valeurs uniques qui ressemblent à ceci :

      Attention ! Il est important que vous demandiez des valeurs uniques à chaque fois. Ne copiez PAS les valeurs indiquées ci-dessous !

      Output

      define('AUTH_KEY', '1jl/vqfs<XhdXoAPz9 DO NOT COPY THESE VALUES c_j{iwqD^<+c9.k<J@4H'); define('SECURE_AUTH_KEY', 'E2N-h2]Dcvp+aS/p7X DO NOT COPY THESE VALUES {Ka(f;rv?Pxf})CgLi-3'); define('LOGGED_IN_KEY', 'W(50,{W^,OPB%PB<JF DO NOT COPY THESE VALUES 2;y&,2m%3]R6DUth[;88'); define('NONCE_KEY', 'll,4UC)7ua+8<!4VM+ DO NOT COPY THESE VALUES #`DXF+[$atzM7 o^-C7g'); define('AUTH_SALT', 'koMrurzOA+|L_lG}kf DO NOT COPY THESE VALUES 07VC*Lj*lD&?3w!BT#-'); define('SECURE_AUTH_SALT', 'p32*p,]z%LZ+pAu:VY DO NOT COPY THESE VALUES C-?y+K0DK_+F|0h{!_xY'); define('LOGGED_IN_SALT', 'i^/G2W7!-1H2OQ+t$3 DO NOT COPY THESE VALUES t6**bRVFSD[Hi])-qS`|'); define('NONCE_SALT', 'Q6]U:K?j4L%Z]}h^q7 DO NOT COPY THESE VALUES 1% ^qUswWgn+6&xqHN&%');

      Il s'agit de lignes de configuration que nous pouvons coller directement dans notre fichier de configuration pour définir des clés sécurisées. Copiez la sortie que vous venez d'obtenir.

      Maintenant, ouvrez le fichier de configuration de WordPress :

      • sudo nano /var/www/wordpress/wp-config.php

      Trouvez la section qui contient les valeurs factices pour ces paramètres. Elle ressemblera à cela :

      /var/www/wordpress/wp-config.php

      . . .
      
      define('AUTH_KEY',         'put your unique phrase here');
      define('SECURE_AUTH_KEY',  'put your unique phrase here');
      define('LOGGED_IN_KEY',    'put your unique phrase here');
      define('NONCE_KEY',        'put your unique phrase here');
      define('AUTH_SALT',        'put your unique phrase here');
      define('SECURE_AUTH_SALT', 'put your unique phrase here');
      define('LOGGED_IN_SALT',   'put your unique phrase here');
      define('NONCE_SALT',       'put your unique phrase here');
      
      . . .
      

      Supprimez ces lignes et collez les valeurs que vous avez copiées depuis la ligne de commande :

      /var/www/wordpress/wp-config.php

      . . .
      
      define('AUTH_KEY',         'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('SECURE_AUTH_KEY',  'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('LOGGED_IN_KEY',    'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('NONCE_KEY',        'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('AUTH_SALT',        'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('SECURE_AUTH_SALT', 'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('LOGGED_IN_SALT',   'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      define('NONCE_SALT',       'VALUES COPIED FROM THE COMMAND LINE');
      
      . . .
      

      Ensuite, nous devons modifier certains des paramètres de connexion à la base de données au début du fichier. Vous devez ajuster le nom de la base de données, l'utilisateur de la base de données et le mot de passe associé que nous avons configuré dans MySQL.

      L'autre modification que nous devons apporter est de définir la méthode que WordPress doit utiliser pour écrire dans le système de fichiers. Comme nous avons donné au serveur Web la permission d'écrire là où il en a besoin, nous pouvons explicitement définir la méthode du système de fichiers sur « direct ». Si nous ne configurons pas la méthode avec nos paramètres actuels, WordPress demandera les informations d'identification FTP lorsque nous effectuerons certaines actions.

      Ce paramètre peut être ajouté sous les paramètres de connexion à la base de données ou n'importe où ailleurs dans le fichier :

      /var/www/wordpress/wp-config.php

      . . .
      
      define('DB_NAME', 'wordpress');
      
      /** MySQL database username */
      define('DB_USER', 'wordpressuser');
      
      /** MySQL database password */
      define('DB_PASSWORD', 'password');
      
      . . .
      
      define('FS_METHOD', 'direct');
      

      Enregistrez et fermez le fichier lorsque vous avez terminé.

      Étape 6 - Finalisation de l'installation via l'interface Web

      Maintenant que la configuration du serveur est terminée, nous pouvons finaliser l'installation via l'interface Web.

      Dans votre navigateur Web, naviguez jusqu'au nom de domaine ou à l'adresse IP publique de votre serveur :

      https://server_domain_or_IP
      

      Sélectionnez la langue que vous souhaitez utiliser :

      WordPress language selection

      Ensuite, vous arriverez à la page de configuration principale.

      Sélectionnez un nom pour votre site WordPress et choisissez un nom d'utilisateur (il est recommandé de ne pas choisir quelque chose comme « admin » pour des raisons de sécurité). Un mot de passe fort est généré automatiquement. Enregistrez ce mot de passe ou choisissez un autre mot de passe fort.

      Entrez votre adresse e-mail et choisissez si vous voulez demander aux moteurs de recherche de ne pas indexer votre site :

      WordPress setup installation

      Lorsque vous cliquez, vous accédez à une page qui vous invite à vous connecter :

      WordPress login prompt

      Une fois connecté, vous serez redirigé vers le tableau de bord d'administration de WordPress :

      WordPress login prompt

      Conclusion

      WordPress devrait être installé et prêt à l'emploi ! Les étapes suivantes consistent généralement à choisir le réglage des permaliens pour vos messages dans Settings > Permalinks (Réglages > Permaliens) ou à sélectionner un nouveau thème dans Appearance > Themes​​​ (​Apparence > Thèmes). Si c'est la première fois que vous utilisez WordPress, explorez un peu l'interface pour vous familiariser avec votre nouveau CMS.



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